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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n’est réel. Les personnages irréels de ce texte sont tous consentants à y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leur vie inexistante sans aucune séquelle ni blessure. Un peu comme n’importe quel personnage imaginaire d’un livre, d’un conte, d’une nouvelle…
Ce texte étant quand même très très violent, je ne le recommande qu’aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après, si c’est pour commenter que ce texte est violent, voire très ou trop violent, que cela se termine mal, que cela vous choque, que c’est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire.
Il est réservé à un public majeur, tous les personnages sont majeurs. Il contient, suivant les chapitres, toutes les perversions les plus abjectes de la zoophilie à ce que vous pouvez imaginer de pire. Donc, si vous n’aimez pas ça, ne lisez pas. Après, ne venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus.
Pour les amateurs du genre et mes fans, je vous souhaite bonne lecture.
Juin 2023.
Naira tente de trouver un travail, mais avec juste le bac, difficile d’en dégotter un qui lui plaise vraiment. Surtout en ces temps de crise. Elle songe à passer des concours en candidat libre, mais n’en trouve pas le courage, surtout que même si elle y arrive, ce n’est pas certain qu’avec un bagage universitaire elle puisse échapper à la rue. Puis Pôle Emploi lui trouve un test à faire, qui, s’il est réussi, débouchera sur un stage. C’est une multinationale française qui le propose, consciente que souvent, des personnes avec une intelligence bien au-dessus de la moyenne, voire HPI, décrochent tôt de l’école et n’obtiennent pas les diplômes qu’ils devraient facilement avoir. Pour s’inscrire à ce test, il suffit d’envoyer une copie de sa carte d’identité ou de son passeport. Ce que Naira, convaincu par sa psy, fait.
Le test a lieu dans une des succursales de la multinationale à Nice. Elle le passe dans un bureau, seule, surveillée par une employée de la société. À sa grande surprise, la jeune femme est prise. Pour un stage à Madrid, en Espagne. Suivant ses résultats, elle pourra briguer un poste allant de simple secrétaire à cadre dirigeant.
La psy de Naira doit faire un travail sur la jeune femme âgée maintenant de presque vingt-trois ans pour que cette dernière accepte l’offre. On est alors en juin 2023. Elle va effectuer son stage de six mois dans la branche espagnole de la Société française. Il s’agit de la société espagnole « Pablo Nino », rachetée cinq ans plus tôt par la multinationale. Spécialisée dans le lobbying et la finance, grâce à ce rachat, elle est passée de 800 employés à plus de dix mille. Présente dorénavant à Madrid, mais aussi à Barcelone, Séville, Valence et une dizaine d’autres villes ibériques, mais aussi dans des pays d’Amérique du Sud ou Centrale, comme l’Argentine, la Colombie ou le Mexique. Elle gère plusieurs milliards d’euros de portefeuille. Au niveau du lobbying, elle est passée de municipal à gouvernemental et européen.
Naira a hésité à accepter le stage. Bon, d’abord, il est bien rémunéré, mille euros plus le gîte et le couvert. Une somme énorme pour la magnifique Naira, qui ne vit plus que du RSA, dans un HLM sordide. Elle a fait des recherches sur ce Pablo Nino, tombant sur un résumé assez précis de la vie du millionnaire espagnol. Son enfance, ses débuts professionnels, sa réussite, la création de son entreprise, tout y passe. Même la fausse accusation de viol fomentée par sa femme et des ex-employés cupides. Ce qui lui fait accepter, c’est ce qu’il s’est passé ensuite. Après la condamnation de ses fausses accusatrices, par contumace, car elles sont en fuite depuis. Naira se dit que l’homme aurait pu devenir misogyne ou un truc du genre.
Mais non, conscient que cette fausse plainte va jeter l’opprobre sur des milliers de femmes réellement violées, il décide de créer et de financer une association venant en aide aux femmes violées et battues. La dite association sera présidée par une femme. Elle ne s’occupera que de la partie financement et vérification des comptes, afin de s’assurer que rien n’est détourné. En outre, il s’engage à n’embaucher que du personnel issu de la gent féminine. Ce qui fait pencher la balance, pour Naira, c’est qu’il tient parole. Aujourd’hui, soixante-douze pour cent des femmes battues et violées prises en charge par une association le sont par celle créée par Pablo Ninon, qui a ouvert des succursales dans toutes les grandes et moyennes villes d’Espagne.
En outre, sa société compte maintenant quatre-vingt-quinze pour cent d’employées féminines. Seule l’entreprise de sécurité, lui appartenant également, qui fournit les agents de sécurité pour ses bâtiments est constituée majoritairement d’hommes. Tous étant d’anciens militaires provenant d’armées de divers pays. Ce que l’article ne dit pas, c’est que sur les cinq pour cent d’hommes, tous sont au minimum trabzon escort des cadres supérieurs. Rare sont les femmes à avoir une place décisionnelle ou de management chez Pablo Nino. Et dans les sphères dirigeantes, il n’y en a qu’une. Mais cela, en signant son contrat, Naira l’ignore.
Pablo Nino, s’il n’est plus propriétaire de sa société, en est toujours actionnaire à hauteur de dix pour cent et dirige toujours sa société. Naira était trop mal à l’époque pour connaître l’histoire, cela se passant quelques jours après son viol. La société de Pablo Nino s’est retrouvée au bord de la faillite suite à une plainte pour viol d’une quinzaine d’employées. La multinationale française a acheté la société espagnole une bouchée de pain, mais a maintenu en place Pablo Nino, malgré la tempête médiatique contre lui. Après une enquête policière de plusieurs mois, il s’est avéré que tout était monté par l’ex-femme de l’Espagnol. Elle a été condamnée lourdement par la Justice espagnole, ainsi que les quinze employées. Plus de dix ans ferme pour chacune. Toutes sont aujourd’hui en fuite.
Grâce à son innocence retrouvée, couplée à la puissance de la multinationale française, des milliers de clients se sont rués dans les succursales de la société Pablo Nino pour placer leurs argents, comme pour s’excuser de l’avoir accusé à tort, sans utiliser la présomption d’innocence.
Un train spécial est affrété pour amener les stagiaires de la France vers l’Espagne. Un wagon entier est réservé par la multinationale pour le voyage entre Nice et Madrid. Sachant qu’il y a dix compartiments de huit places, ce sont donc quatre-vingts stagiaires qui arriveront dans la capitale espagnole. Avant d’aller dans son compartiment attitré, Naira parcourt le wagon. Sur chaque compartiment est indiquée la ville d’où proviennent les filles. Il y en a six indiqués : Nice, deux Antibes et deux Cannes. Les six premiers compartiments sont donc déjà tous pleins de jeunes et jolies filles. Sur son billet, il est indiqué qu’elle monte dans le deuxième compartiment d’Antibes. À mesure de leurs arrivées, les filles se présentent, tout en se faisant détailler par Naira.
D’abord, il y a Sofia, blonde aux yeux bleus de dix-huit ans. Très belle fille qui fait un peu penser à une Elfe. Petite et menue, avec un petit cul, une douce chute de reins et de petits seins dont son décolleté laisse voir la naissance. Ses lunettes renforcent sa beauté, la rendant plus que désirable pour les hommes.
Ensuite, il y a Amina, grande Black de vingt ans. Cul de Black, mais pas trop gros, gros seins, c’est une magnifique jeune femme. Malgré un jeans et un tee-shirt sage, elle respire la sensualité. Le genre de beauté noire que tout homme rêve de se mettre dans son lit, même les plus racistes d’entre eux.
Lena est la suivante, blonde aux yeux verts, avec un corps de fou. Son top ventre nu qu’elle porte sans soutien-gorge moule ses seins énormes, au minimum un bonnet DD, voire E. Son petit cul est à peine caché par son mini-short qui rentre dans ses fesses pratiquement comme un string. La jeune femme n’a que dix-huit ans, mais paraît à Naira bien délurée. Sa tenue est un véritable appel au viol, même s’il semble que juste un verre soit suffisant pour la mettre dans son lit. Et que pour la violer, il faut se lever tôt, tant elle pue le sexe et semble consentante pour tout…
Océane, qui fête ses dix-huit ans le jour même, qui sera la plus jeune du wagon, arrive ensuite. C’est une brune très jolie, avec un corps que son haut et son jeans ne laissent pas deviner. Elle a un très beau visage, elle paraît très douce et très timide.
Anna, vingt-et-un ans, arrive alors. Petite asiatique au corps de femme, elle est d’origine japonaise. C’est une magnifique fille, avec des formes, de beaux seins et un joli cul.
Maelly, dix-huit ans, est l’avant-dernière. Elle a un visage atypique, porte des lunettes, mais le tout en fait une très belle fille qui doit faire des ravages auprès de la gent masculine. Petite et mince, elle a un cul bien fait et des seins moyens.
Naira a peur d’être la plus âgée avec ses presque vingt-trois ans. Mais il n’en est rien. La dernière, Stéphanie, arrive peu avant le départ. À vingt-huit ans, c’est à elle que revient l’honneur d’être la doyenne des huit jeunes filles. C’est une très belle femme, qui porte elle aussi des lunettes. Cheveux châtains, gros seins bonnet C, cul un peu large, que met bien en valeur sa jolie chute de reins.
Naira se dit qu’il n’y a que des canons bien foutus dans le compartiment. Très intelligente aussi, car toutes ont réussi le test. Naira se sent comme le vilain Petit Canard du groupe. Depuis qu’elle s’est fait violer, elle n’a plus aucune confiance en elle. La jeune femme se trouve laide, idiote, repoussante. Mais bon, la bonne humeur ambiante fait que même si elle reste la plus discrète, avec Océane et Sofia, Naira se mêle aux conversations du groupe. La jeune femme se rend compte qu’elle n’a plus eu de contact tunceli escort social depuis que son bourreau l’a si sauvagement sodomisée et battue.
Il leur faut vingt heures en tout pour rallier la capitale espagnole. En arrivant, Naira en a beaucoup appris sur ses comparses. Ainsi que ses comparses sur elle. Même si bien entendu, elle n’a pas parlé du calvaire que lui a fait vivre Franck.
Elles ont parlé de tout, de mode, de mecs, de leurs rêves. Déjà, deux groupes se distinguent. Les Vierges : Bien entendu, Naira en fait partie malgré son viol anal et buccal. Sofia, Océane et Maelly en font aussi partie. Les non vierges, Amina, Anna et Stéphanie, mais qui n’ont eu chacune qu’un seul amant. Qui, point commun aux trois, les a toutes quittées après avoir couché avec elles, une seule fois.
Puis il y a Lena, qui elle a eu une vingtaine d’amants. Aucune relation suivie, que des coups d’un soir. Fellation et rapports vaginaux ne lui font pas peur, juste pour le plaisir. Par contre, elle le répète, personne n’aura sa petite rondelle.
Toutes, en plus de leurs beautés ou de leurs corps parfaits, ont un autre point commun : elles sont célibataires. Certes, cela facilite les choses, elles n’ont ainsi personne à quitter pour leurs stages d’au moins six mois à Madrid. Pratiquement toutes ont le même rêve, arriver le plus haut possible à la fin de leur stage. Seule Lena ne pense pas la même chose. Intellectuellement, la jeune femme sait qu’elle est loin d’avoir l’intelligence de ses comparses. D’ailleurs, après avoir vu la grille salariale de l’entreprise, un CDI de simple secrétaire lui suffit amplement. À deux mille euros net par mois, elle est prête à sucer pour cela. Il faut dire que la jeune fille est orpheline, elle a grandi entre foyers et familles d’accueil.
Aujourd’hui hébergée par une association, elle se retrouvera SDF le jour de ses dix-neuf ans, soit dans deux semaines. Alors elle s’est dite prête, pour la première fois de sa vie, à sucer ou à coucher sans avoir envie de son amant, mais par besoin. Hélas, tous ses CV sont revenus refusés. Aussi croit elle en sa chance quand elle a réussi le test. Elle prévient ses compagnes pour un poste de secrétaire, elle est prête à sucer le responsable qui l’embauchera. Pas plus pour un tel salaire, mais en dernier recours, elle n’exclut pas de donner son sexe aussi.
Naira pense que Lena ne se rend pas compte de sa beauté, elle est persuadée que certains hommes seraient prêts à tuer, ne serait-ce que pour se faire sucer par un tel canon. Alors lui faire signer un CDI de deux mille balles par mois…
Un dernier point commun apparaît : toutes sont prises à la gorge, il leur faut un emploi d’urgence. Sinon, elle risque de se retrouver dans la rue, comme Lena, à court ou moyen terme. Aucune autre ne rebondit sur les paroles de Lena et n’avoua être dans le même cas qu’elle. Trop honteuses d’avouer leur faiblesse, et pensant qu’avec la blonde, elles ne sont que les deux seules dans ce cas-là.
La fin du voyage se passe assez calmement, les filles dormant. Le train arrive à Madrid. Les stagiaires seront pris en charge par des membres de l’entreprise Pablo Nino. Trois compartiments iront ensuite sur Valencia, trois sur Séville, enfin trois autres sur Barcelone. Chacune dans les immeubles de bureaux de la société. Le dernier compartiment reste à Madrid. Les stagiaires iront dans les étages directionnels du siège de la Société. Un grand gratte-ciel d’une cinquantaine d’étages. Les étages étant partagés par la société Pablo Nino et la multinationale française.
Un homme assez charismatique vient récupérer le petit groupe dans leur compartiment. Il se présente comme Miguel, il sera leur guide jusqu’au lendemain. Il tient dans sa main une tablette électronique de marque. Deux garde-du-corps à l’air suffisamment pratiques pour repousser tout malveillant l’accompagnent. L’homme est affable, un peu efféminé. Il gagne aussitôt la confiance des huit jeunes filles, même celle de Naira. Tant il paraît à toutes que cet homme s’intéresse plutôt à la gent masculine qu’à la féminine. Aucune ne se doute que c’est un subterfuge, que cet homme est le pire prédateur qu’elles aient côtoyé. Même Naira, pourtant bien servie avec Franck et tout ce qu’il lui a fait subir ce fameux week-end de 2018.
Un bus les attend, il les conduit jusqu’au siège de la société Pablo Nino. On les déposait devant le parvis du gratte-ciel. Il est immense, le deuxième plus grand bâtiment de la multinationale française, le plus grand étant son siège à Nice. Les huit filles sont impressionnées par le luxe, la richesse et le pouvoir qui se dégage de cette construction. Surtout qu’elle se trouve en plein centre-ville de Madrid.
L’intérieur est encore plus beau, luxueux. Cela grouille de monde. Les filles remarquent que la plupart des employés sont en grande majorité de sexe féminin, que la plupart portent le même genre de tenue, seule la couleur change. La tenue est une jupe de tailleur très uşak escort courte, un chemisier moulant et une veste de tailleur. Mais il y a quatre couleurs différentes, Miguel leur explique ce que cela veut dire :
– Le rose, c’est pour les simples employées : Réceptionniste, simple secrétaire. Le mauve, c’est pour les employées principales : Simple comptable, employée aux ressources humaines, par exemple. Le vert, c’est pour ce que l’on appelle ici les employées à responsabilités. Par exemple, on a un pool secrétariat. Pour six secrétaires, on a une sorte de chef d’équipe. Elle n’a pas de pouvoir décisionnaire, mais est chargée de vérifier la bonne marche de l’équipe. Enfin, le jaune est pour les agents de maîtrise ou les cadres inférieurs. Une comptable confirmée sera agent de maîtrise, une secrétaire de direction affiliée à un chef de service ou d’équipe, par exemple, sera cadre inférieur. Enfin, pour les cadres supérieurs ou les dirigeantes, la tenue est libre.
Lena rebondit sur la réponse :
– Pour les hommes, c’est pareil?
– Après l’affaire qui a frappé notre patron, ce dernier a décidé de n’embaucher pratiquement exclusivement que des employées de la gent féminine. Il y a moins de cinq pour cent d’hommes chez Pablo Nino. Mais oui, un employé simple de genre masculin sera en rose. Sauf que ce sera un pantalon et un veston sur une chemise blanche.
Bien entendu, Miguel ne précise pas que les hommes occupent tous des postes des plus importants. Seules cinq femmes ont un poste de cadre dirigeante. Et encore, loin d’être les plus importants, sauf une.
– Merci pour l’info, je n’étais pas au courant.
MIGUEL sourit à Lena.
Il reprend ses explications :
– L’immeuble qu’occupe le siège de la société Pablo Nino lui appartient. Comme tous les biens immobiliers où se trouvent nos succursales ou les sociétés extérieures nous appartenant. Ici, l’immeuble compte cinquante-trois étages. Les trois derniers étant ceux des cadres dirigeants, le dernier des membres de la direction. Il y a un toit terrasse divisé en deux. Une partie est occupée par les bureaux du boss, l’autre contient les appartements du patron, qui est donc occupé par Pablo Nino. C’est de là qu’il gère la société.
Toutes sont impressionnées, Miguel continue.
– La société Pablo Nino loge ses employées.
– Tous ?
– Oui, tous, à un prix défiant toutes concurrences, pour dix pour cent du salaire dudit employé, pourcentage divisé par deux pour un studio ou un F1. C’est une résidence de luxe, située à une heure et demie d’ici, à pied. En dessous de nous, il y a un ancien arrêt de métro. Une ligne disparut dans les années quatre-vingt. Pablo Nino a fait construire la résidence pour les employés, sur un autre arrêt de cette ligne. Ainsi, tous les résidents peuvent faire le trajet travail-maison en moins de dix minutes, grâce à nos rames rapides. Comme les seuls arrêts sont la résidence et l’entreprise, il peut faire le trajet à la vitesse maximum. C’est totalement gratuit et fermé au public autre que les personnes qui travaillent pour nous.
– Et ceux qui ne veulent pas être logés là-bas ?
– Ils sont libres. Mais nous ne prenons pas en compte les salaires des conjoints ou autres colocataires. Une secrétaire simple qui gagne deux mille euros net ne paiera que deux cent euros de loyer. Si elle est mariée avec trois enfants, elle aura un cinq pièces, afin que les parents et chaque enfant aient sa chambre. Pas loin du centre-ville, le même appartement serait à au moins deux mille euros. Le calcul est vite fait. Surtout que la résidence compte de nombreuses piscines et autres courts de tennis. Pareil, si la personne vit seule, elle aura un studio dans un lieu paradisiaque pour cent euros par mois… Contre au minimum cinq cent pour un studio en centre-ville.
L’homme fait une courte pause, le temps que toutes enregistrent bien tout.
Miguel reprend :
– Tous les dix étages, il y a une cantine à un euro le repas pour nos employés. On peut y prendre le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner jusque minuit. Vous serez logées au cinquantième étage. À côté de la cantine des membres dirigeants. C’est-à-dire ceux qui dirigent la société. Si on mange bien de partout, là, je peux vous dire qu’il n’y a rien à envier aux restaurants étoilés de Madrid.
Ensuite, il leur montre le dortoir qu’elles vont occuper. Il y a un salon central, de chaque côté duquel se trouvent deux grandes chambres occupées chacune par deux lits superposés. Chaque chambre donne accès à deux douches.
– Maelly, Naira, Océane et Sofia dans la chambre de droite. Les quatre autres dans la chambre de gauche. Il y a le prénom de chacune sur votre lit.
Les huit jeunes femmes vont poser leurs affaires, puis rejoignent de nouveau Miguel. Elles quittent ensuite leur dortoir.
Miguel guide ensuite les filles devant les cages d’ascenseurs. Il y en a douze en tout.
– Vous avez toutes signé un contrat de stage. Outre votre rémunération et vos droits, il y est aussi indiqué vos devoirs. En tant que stagiaires, il y en a très peu. Outre la discrétion totale sur ce que vous apprendrez sur la société, il y a aussi une visite médicale complète obligatoire ainsi que trois vaccins. Si l’une d’entre vous veut se désister, c’est maintenant.
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